Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
24 avril 2010 6 24 /04 /avril /2010 20:30

Encore beaucoup de participants cet après-midi pour cette huitième sortie de la saison 2010 (eh oui, déjà  comme le temps passe ). Nous sommes donc onze vététistes... ce n'est pas le record mais ça n'en est pas loin.

Et nous voilà partis pour la montée aux Gallinons par Ossat, Le Chéney et l'Eponnet. Mais le groupe ne reste pas au complet très longtemps : Cathy, qui ressent encore douloureusement les effets de sa sortie précédente, nous abandonne entre le Chéney et l'Eponnet pour redescendre sur Marignier. Un peu plus tard, c'est Pierre qui doit être rentré pour 17 heures qui nous quitte.

PICT0009

Bref, c'est à neuf que nous poursuivons et terminons ce parcours sans évènements très marquants si ce n'est une chute de Cédric sans conséquences, une autre chute de Maurice qui s'en tire avec quelques égratignures et une crevaison de Laurent en arrivant sur le plat du côté du Bouchet.

Bilan : 29 km et 700 m de dénivelé

profil

Album photos

Partager cet article
Repost0
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 22:28
Dimanche 18 avril, 11 heures, par ordre d' apparution à la gare : Carole, Nadine, Pokemon, René et Yves.
Itinéraire décidé : sortie 4 du matin de notre cher livret avec une rumeur inquiétante évoquée par certains anciens licenciés : " Montauban égale Satan ".
Donc un homme ou plusieurs avertis ... tranquille jusqu'à Lossy et après, quelle horeur : 12 - 14 % jusqu'à Armiaz et comme des oufs nous continuons ( il y en a un qui dirait " démesure " Chemenoud, pas mieux 965 m), 4 sur le vélo en équilibre et un à pied ( masculin ou féminin  ).
Puis dilemme : à gauche ou tout droit, chemin empierré, pas de VTT mais une promeneuse nous informe que l'on rejoint St Cergues, allons-y, pas de carte ni d'indication et pas de GPS présidentiel, tous les cinq unis la main dans la main et sur les guidons, au bout de 2 à 3 km montant tantôt sur le vélo tantôt à pied, nous voilà totalement désorientés...
Restons groupés sur ce chemin forestier quand même, avec belle vue sur le lac Léman, inquiets tout de même malgré la possession de mobiles (l'on ne sait jamais), personnne en vue, pas d'indication et après 6 km environ, euréka : une route bitumée montante que nous empruntons, sourire retrouvé mais toujours "perdus" (la section vététiste ne nous voudra pas ) quelques voitures nous dépassent ...donc ... arrivons "Monastère de Bethléem" :  fin de route...(1358 m) : grands éclats de rires malgré le silence que la Vierge nous impose à cet endroit.
Après renseignements auprès de l'Office du tourisme des disciples de ce Monastère (n'ayant plus trop nos facultés), il nous faut redescendre par la route cette fois sur 5 km pour atteindre le col de Saxel où notre café bien connu de l'UCTM nous accueille pour nous remettre de nos émotions .
Ensuite retour aux Ecuries pour absorber de l'avoine et hennir nos mémoires.

voironsLa chapelle Notre-Dame des Voirons
Partager cet article
Repost0
18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 14:37

Du lundi 12 au mercredi 14 avril : boucle de trois jours en itinérance au départ de Saint-Pierre des Tripiers

PICT0002Après une nuit passée à l'auberge du Courby, départ de la première étape de Saint-Pierre des Tripiers à Saint-Rome de Dolan.

Il fait beau ce matin mais la température est assez loin d'être estivale et la gelée blanche qui nous environne nous dissuade assez vite de prendre le départ en cuissard court et en manches courtes .

Cette première journée en Lozère se déroule essentiellement sur le Causse de Sauveterre en commençant par le site remarquable des Arcs de Saint-Pierre. Un peu plus loin, au hameau de Cassagnes, un chien en liberté nous prend en affection et entreprend de faire un bout de chemin en notre compagnie. Malgré nos invitations à retourner chez lui, impossible de s'en débarrasser, il ne nous lâche pas d'une semelle, au point que nous devons être vigilants car il lui arrive de traverser brusquement devant un de nos vélos !

Nous avions envisagé de descendre sur Les Vignes par un sentier en lacets mais il est vraiment trop exposé et nous nous rabattons sur la route, toujours suivis comme notre ombre par notre toutou.

PICT0015

Casse-croûte au bord du Tarn

Arrivés aux Vignes, première pause en terrasse au bord du Tarn pour la première mousse du parcours dans un bar dont la propriétaire reconnaît notre animal de compagnie et téléphone à son patron pour qu'il vienne le récupérer.Une entrecôte-frites en bordure du Tarn et c'est reparti pour un magnifique sentier en rive gauche du Tarn jusqu'au Rozier. Là, les choses se compliquent un peu car il faut remonter sur le causse et comme de nombreux passages ne sont pas franchissables à vélo, c'est un peu éprouvant, notamment pour Jean, un peu à court d'entraînement.

Tout ça ne nous empêche pas de déboucher sur le causse un peu avant Saint-Rome de Dolan. A partir de là, la progression devient nettement plus aisée mais, la fatigue aidant, nous ne sommes pas mécontents d'arriver au hameau d'Almières, au gîte des Fleurines où Nathalie et Bernard, nos hôtes du jour, nous accueillent dans leur ferme caussenarde superbement restaurée.

PICT0046

Le gîte des Fleurines à Almières

 

Bilan de cette première journée : 60 km et 1550 m de dénivelé.

 

Après un repas reconstituant composé d'une soupe au potiron et aux châtaignes et d'un plat d'agneau du causse et suivi d'une nuit excellente encore qu'un peu agitée par la faute de Bernard , nous voilà repartis pour la deuxième étape qui joint Almières à Nivoliers.

Le temps est toujours au beau mais depuis hier, ça ne s'est guère réchauffé. Encore pas de jambes ni de bras nus donc pour cette étape.

PICT0054Peu après Almières, première pause quasi obligatoire au Point Sublime pour profiter du panorama exceptionnel sur les gorges du Tarn avant de poursuivre par le Causse de Sauveterre, puis de rejoindre la vallée du Tarn par le "sentier de la farine" et ses nombreux passages assez exposés où il vaut mieux bien choisir l'emplacement où faire passer ses roues.

Après quelques franchissements à pied et même quelques portages du vélo, nous rejoignons les rives du Tarn un peu avant La Malène où nous effectuons quelques achats en prévision du prochain pique-nique.

J'avais prévu de faire le trajet La Malène-Saint Chély du Tarn par le sentier en rive gauche du Tarn mais Jean qui connaît une partie du parcours pour l'avoir effectuée avec Jérôme nous en dissuade en évoquant quelques séances de portage qui ne nous emballent guère. Nous nous replions donc sur la route en pensant à l'épreuve qui nous attend : la remontée sur le Causse Méjean depuis Saint-Chély, épreuve à laquelle nous nous attelons après un pique-nique à Saint-Chély et une pause café en terrasse.

PICT0066

Saint-Chély du Tarn

La montée jusqu'au col de Coperlac est certes rude et longue mais se fait cependant intégralement sur le vélo. Nous ne sommes pas mécontents de déboucher sur le Causse Méjean et de poursuivre après le col avec un profil beaucoup plus facile, même si quelques côtes nous attendent encore.

Quelques kilomètres plus loin, voici Nivoliers et son auberge du Chanet où nous allons passer la nuit après un repas quasiment gastronomique .

Bilan de cette deuxième journée : 42 km et 1200 m de dénivelé

La troisième journée de notre périple va nous ramener à notre point de départ : l'auberge du Courby où nous avons laissé la voiture.

PICT0086

Traversée de l'enclos des chevaux de Przewalski


Nous commençons par traverser les paysages caractéristiques du Causse Méjean et ses grandes étendues presque désertiques. Nous y longeons l'enclos des chevaux de Przewalski, dernier cheval sauvage d'Europe, originaire de Mongolie dont nous avons la chance d'apercevoir un spécimen. L'itinéraire se poursuit par une magnifique descente sur la vallée de La Jonte avant de rejoindre la ville de Meyrueis. C'est jour de marché, ce qui nous permet d'acquérir quelques produits locaux pour le prochain pique-nique et de prendre un café en terrasse au bord de la Jonte.

PICT0103Il nous faut ensuite remonter sur le Causse Méjean sur lequel nous débouchons au niveau de la croix de la Croisette où un arrêt pique-nique s'impose avant de poursuivre en direction de notre objectif du jour.

Après un superbe parcours vallonné à travers le Causse Méjean, nous voilà de retour au Courby après 38 km et 1100 m de dénivelé.

Nous y retrouvons notre véhicule et, sans perdre de temps, repartons en direction du Bleymard, à environ 80 km de là, où nous allons passer la prochaine nuit. En route, le temps se gâte un peu et quelques gouttes de pluie du côté de Sainte-Enimie nous amènent à nous réjouir de n'être plus sur le vélo.

Arrivés en fin d'après-midi au Bleymard, un coup d'oeil sur le Mont Lozère encore bien enneigé nous permet de constater rapidement que le parcours prévu pour le lendemain ne sera pas praticable. Nous achetons donc une carte locale au Bleymard afin de préparer un itinéraire de repli.

Parvenus au gîte des Alpiers, au-dessus du Bleymard, nous sommes accueillis par Tiny, notre nouvelle hôtesse et l'heure précédant le repas est consacrée à élaborer sur la carte un itinéraire pour le lendemain.

PICT0121

Gîte des Alpiers au Bleymard

 

Le parcours du jeudi traverse des paysages complètement différents de ceux des jours précédents et commence par emprunter le GR du chemin de Stevenson, puis celui du tour de la Margeride avant de redescendre dans la vallée au niveau d'Altier. Nous poursuivons jusqu'à Cubières où nous trouvons un restaurant ouvert. Heureusement car nous n'avons pas de pique-nique et les commerces sont plutôt rares dans le coin.

Après un repas reconstituant, nous repartons en direction du col Santel. Jean, qui commence à ressentir les effets de la fatigue accumulée les trois premiers jours, nous y abandonne pour rejoindre directement le gîte des Alpiers tandis que je poursuis avec Bernard en direction de la station de ski du Mont Lozère, station certes fermée à cette date mais les plaques de neige sont de plus en plus nombreuses de chaque côté de la route au fur et à mesure que nous nous élevons.

PICT0139Nous poursuivons cependant jusqu'au col de Finiels, à 1550 m d'altitude, dans une température de plus en plus fraîche, de sorte que nous ne nous y attardons pas et attaquons derechef la descente sur Le Bleymard, puis la remontée aux Alpiers où nous retrouvons Jean, déjà douché et pressé de passer à table pour déguster l'excellent - et roboratif - repas préparé par Tiny.

Bilan de la journée : 60 km et 1700 m de dénivelé.

PICT0143Nous prenons toutefois le temps de déguster avec notre hôtesse la bouteille de champagne apportée par Bernard pour fêter la réussite totale de cette escapade en Lozère.

Le lendemain matin, une surprise nous attend au moment d'ouvrir les volets : une couche de neige de quelques centimètres recouvre toute la région. Heureusement que nous n'avons pas prévu de rouler aujourd'hui, sinon en voiture pour regagner la Haute-Savoie .

PICT0151En résumé, cette mini-semaine en Lozère nous aura permis de parcourir 200 km et de gravir près de 6000 m de dénivelé. Merci à Bernard et à Jean de m'avoir suivi dans cette aventure qui en appelle d'autres... nous commençons notamment à rêver d'une GTMC (Grande Traversée du Massif Central) en 2011 .

 

Album photos

Partager cet article
Repost0
7 avril 2010 3 07 /04 /avril /2010 07:50

Ce matin : sortie avec Bernard pour fignoler l'organisation de notre périple dans les Causses et les Gorges du Tarn prévu la semaine prochaine. Il s'agit de tester notre bagage fixé sur la tige de selle avec deux sacoches latérales.

Pour cela, nous avons prévu de monter au col du Reyret et de poursuivre par le col de Saint-Jean, deux cols qui servent de passage entre Bonneville et Saint-Jean de Tholome.

Le poids des sacoches - que nous avons remplies avec ce qui nous tombait sous la main ! - n'est pas trop pénalisant, beaucoup moins en tout cas que la même charge dans un sac à dos et c'est sans coup férir que nous nous hissons à près de 1000 m d'altitude, franchissant tout de même les parties les plus raides à pied en pensant à ce qui nous attend cet après-midi.

Arrivés au col de Saint-Jean, nous hésitons un peu sur la suite de l'itinéraire, essayant deux chemins avant de découvrir le bon qui part entre les deux et qui n'est pas très évident au départ. Il aurait été dommage de ne pas le trouver car c'est un superbe sentier en forêt où nous nous régalons sur un tapis de feuilles mortes. Bernard a même l'impression de descendre mieux avec des sacoches que sans. Je ne suis pas tout à fait convaincu et je pencherais plutôt pour des progrès dus à son nouveau vélo tout suspendu.

Arrivés en bas, petit détour par la nouvelle passerelle sur l'Arve avant de rentrer en rive gauche puis le long de l'autoroute.

Bref, un test tout à fait concluant. Je crois que nous pouvons partir en Lozère sans la moindre inquiétude .

Bilan de la matinée : 50 km et 750 m de dénivelé.

reyret

Les rochers de l'Aigle, au-dessus du col du Reyret - Evidemment, la photo n'a pas été prise aujourd'hui

 

De retour à Marignier vers 11 heures 30, nous avons tout juste le temps de rentrer casser une petite croûte et de changer de vélo pour retrouver le groupe des cyclos avec lequel nous avons rendez-vous à 13 heures 30. En fait, il est presque 14 heures quand le groupe s'ébranle, personne ne paraissant très pressé d'aller rouler .

Nous sommes huit cet après-midi (Véronique, Michel, René, Jo, Christian L, Bernard, Maurice et moi) pour une montée au col de Jambaz par Saint-Denis et Mégevette avant d'enchaîner avec le col de Terramont, le col du Perret et de rentrer par la petite route qui descend en lacets sur Ville-en-Sallaz. Une crevaison de Jo en arrivant dans la vallée nous ralentit un peu mais ça ne fait jamais qu'un arrêt de plus (il y en avait déjà eu de très nombreux auparavant sous toutes sortes de prétextes ). Un retour par Cormand pour faire bonne mesure et nous voilà de retour avec 60 km et 1150 m de dénivelé.

Les craintes que nous avions pu avoir, Bernard et moi, de payer nos efforts de la matinée n'étaient pas fondées, ce qui nous renforce dans notre conviction que le périple en Lozère s'annonce plutôt bien.

profil

Partager cet article
Repost0
5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 16:42

chemin de la résistanceQuatorze au départ ce matin, route mouillée, et température proche de 0, mais le soleil arrive.
Ayze, chemin de la Résistance, côte d'Hyot, St Jean de Tholome (plus personne n'a froid !), montée vers Mieussy, bifurcation vers Ley, un peu raide pour certains (merci Jo ), direction Samoëns, retour vers Châtillon, Gilles crève des 2 pneus à cause d'un beau trou dans la chaussée, il renonce à réparer, sa femme va le rapatrier, on n'est plus très loin de chez lui.
Bilan : Arrivée à Marignier à 11h40 soit 77 km en 3h 40, si on compte que l'on a fait 5 pauses, on a bien roulé, c'était un groupe bien homogène.

Album photos

pause samoëns1

Partager cet article
Repost0
5 avril 2010 1 05 /04 /avril /2010 15:37

PICT0015Douze participants pour cette première rando cyclo de la saison 2010.

Après quelques incertitudes ces derniers jours concernant la météo, nous voilà rassurés ce matin : il fait beau quoiqu'un peu frais mais avec la veste d'hiver, des gants chauds et des surchaussures, il ne devrait pas y avoir de problèmes.

Nous sommes sept à nous engager sur le grand parcours tandis que les cinq autres se répartissent entre le 50 et le 72 km.

Comme d'habitude, le club cyclo de Rumilly nous a préparé à travers la campagne rumillienne un magnifique parcours presque complètement différent de celui des années précédentes.

PICT0019Charly qui étrenne un genou tout neuf nous surprend par sa forme précoce . Un inconvénient tout de même : ces dernières années, on le reconnaissait de loin quand on roulait derrière lui. Maintenant, avec cette nouvelle articulation du genou qui tourne comme une montre suisse, c'est devenu impossible .

Et bien sûr, à l'arrivée, l'assiette traditionnelle de spaghettis à la bolognaise .

Bilan chiffré : 80 km et 1200 m de dénivelé

Album photos

PICT0005

Partager cet article
Repost0
3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 19:56

Il n'y a pas foule cet après-midi pour la sortie VTT, seulement Martine, Maurice et moi . Cédric et Franck, qui étaient inscrits, ont un empêchement. Espérons au moins que nous n'allons pas finir sous la pluie comme samedi dernier.

En tout cas, la pointe d'Andey semble déjà sous la neige.

La sortie commence par une longue partie plate jusqu'à la Sardagne avant de revenir sur Marignier et d'attaquer la montée en direction du coteau de Thyez.

Arrivés à Monnaz, Maurice qui souffre des vertèbres cervicales nous quitte pour redescendre. Je poursuis donc seul avec Martine vers le Coux de Thyez, point culminant prévu du parcours d'aujourd'hui.

Au fur et à mesure que nous nous élevons, le temps devient de plus en plus menaçant, les premières gouttes commencent à tomber et la neige commence à envahir les sommets environnants. Parvenus à La Riolle, nous jugeons plus prudent d'écourter la sortie et de regagner la vallée le plus vite possible. Finalement, chacun de nous deux parvient à rallier son domicile avant que ça mouille vraiment.

 

itiner

Partager cet article
Repost0
3 avril 2010 6 03 /04 /avril /2010 08:18

Beaucoup de monde cet après-midi pour un vendredi . Sans doute le temps qu'il a fait cette semaine et les prévisions pour le week-end ne sont-ils pas étrangers à cet engouement soudain.

Deux groupes se forment et nous partons à neuf : Lucie (à tout seigneur tout honneur !), Michel, René, Jo, Christian L, Jean, William, Sébastien et moi, en direction de Machilly par Faucigny, le Pont de Fillinges et les hauts de Bonne. William et Sébastien qui ont des impératifs horaires à respecter nous quittent assez rapidement et nous poursuivons à six, à une allure d'autant plus soutenue que le vent nous est généralement favorable.

Quand nous prenons le chemin du retour à Machilly, c'est évidemment un peu plus dur .

L'après-midi en chiffres : 85 km et 980 m de dénivelé.

profil

Partager cet article
Repost0
1 avril 2010 4 01 /04 /avril /2010 13:03

La dernière semaine du mois de mars n'aura pas été à marquer d'une pierre blanche . Les occasions de sortir n'auront pas été nombreuses . Enfin bon, on ne va pas se plaindre, pour ceux qui n'ont que le week-end pour rouler, c'est pas la joie .

Lundi après-midi, un contretemps de dernière minute m'empêche de me joindre au groupe qui part de Marignier... tant pis, je pars rouler seul un peu plus tard : 87 km et 1780 m de dénivelé avec la côte de Châtillon et la montée à Plaines Joux depuis Onnion.

Mercredi : je profite d'une amélioration en fin de journée pour faire une boucle de 75 km et 1030 m de dénivelé avec l'Eponnet et Saint-Laurent.

Bilan du mois de mars : 1485 km et 16 175 m de D+

Depuis le début de l'année 2010 : 1570 km - Un peu de retard sur l'an passé (1820 km à la même date).

Partager cet article
Repost0
27 mars 2010 6 27 /03 /mars /2010 19:08
Malgré un temps fort peu engageant, nous voilà encore huit vététistes pour cette sortie VTT jusqu'aux Vorziers (Cédric, Franck, Jean-Marc, Bernard, Patrick, Franco, William et moi).
Et comme le samedi 6 mars, l'effectif des vététistes est supérieur à celui des cyclos , faisant encore une fois la preuve d'une capacité remarquable à braver des conditions météo difficiles.
PICT0008A peine le groupe s'est-il ébranlé que la pluie vient semer le doute dans les esprits. Heureusement, ce ne sont que quelques gouttes et il en faudrait plus pour nous empêcher de rouler cet après-midi. Franco, qui se joint à nous pour la première fois cette saison, paraît déjà bien affûté... il faut dire qu'il va au boulot tous les jours à vélo. Quant à William et Jean-Marc, ils caracolent en permanence en tête du groupe, avec une condition physique déjà bien affirmée pour un début de saison.
Le parcours est certes humide mais hormis quelques flaques d'eau, ça reste correct. Sur le chemin de retour, nous hésitons un peu à prendre le chemin en rive gauche de l'Arve, sachant qu'il peut devenir difficilement praticable par temps de pluie. PICT0012
Nous nous décidons cependant et nous n'avons pas à le regretter : la création d'un chemin empierré le long de la conduite de gaz nous fait certes rebondir un peu sur le vélo mais c'est tout de même beaucoup mieux que de s'enliser dans la boue comme c'était souvent le cas auparavant.
Plus nous nous rapprochons du terme du parcours, plus la pluie augmente d'intensité et c'est bien trempés que nous rallions Marignier. Bravo à tous les courageux qui n'ont pas hésité à braver le mauvais temps .
L'après-midi en chiffres : 41 km et 400 m de dénivelé
PICT0018
Partager cet article
Repost0