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22 mai 2010 6 22 /05 /mai /2010 10:27

Cinq vététistes au départ : Martine, Jérôme, Laurent, Jean-Marc et moi. Bernard a renoncé au VTT en raison de douleurs dorsales et Franco doit nous rejoindre au pique-nique.

La boucle prévue aujourd'hui nous emmène au nord de Moustiers.

Nous commençons par longer le Petit Lac sur un profil à peu près plat qui permet de bien s’échauffer, ce qui ne manquera pas d’être utile pour la suite…


PICT0025 Après être passé en contrebas de Moustiers, nous nous élevons progressivement jusqu’à Saint-Jurs, petit village situé à 900 m d’altitude où nous avons largement le temps de faire une pause dans un petit bistrot de campagne. En effet, il n'est pas encore midi et le véhicule transportant le pique-nique ne devrait pas être là avant treize heures.

PICT0027Nous poursuivons donc l'ascension en direction du col de Saint-Jurs en contrebas duquel nous sommes rejoints par Geneviève, Michèle, Chantal, Marina et Franco qui viennent pique-niquer avec nous.

Après un repas copieux, Franco se joint au groupe des vététistes et nous poursuivons en direction du col de Saint-Jurs sur une route forestière que nous abandonnons bientôt pour attaquer la principale difficulté du jour : la portion de sentier qui relie la route forestière de Mouresse à la route forestière du Montdenier. En effet, la présence de nombreux cailloux impose d’en parcourir à pied la plus grande partie.

Lorsque nous rejoignons la route forestière du Montdenier, ça devient beaucoup plus facile et il ne reste plus qu'à poursuivre la montée sur une bonne piste bien roulante jusqu'au point culminant de l'itinéraire, à 1470 m d'altitude.

C’est alors que débute à travers des paysages superbes une descente de près de 1000 m de dénivelé qui, après un passage à proximité du hameau de Vénascle, se poursuit par la voie romaine jusqu’à Moustiers.

Bilan chiffré de la journée : 50 km et 1700 m de dénivelé.

PICT0059

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18 mai 2010 2 18 /05 /mai /2010 21:21

C'est à cinq (René, Yves, Maurice, Jean-Claude et moi) que nous nous lançons à l'assaut du Géant de Provence ! Il faut dire qu'avec la température qui règne ce matin, on n'a pas vraiment l'impression d'être en Provence mais plutôt à Mouthe... toutes mes excuses aux habitants de ce charmant coin de France qu'on a coutume d'appeler la "Sibérie française".

L'itinéraire par lequel nous allons gravir ce sommet nous a laissés dans l'expectative pendant quelques jours mais ce matin, plus d'hésitation : la route depuis Malaucène est encore fermée à cause de la neige. C'est donc par Bédoin que nous allons effectuer cette ascension.

photo groupe

Plus nous nous élevons, plus le ciel se couvre et, à partir du Chalet Reynard, c'est carrément dans le brouillard que nous roulons avec une visibilité qui n'excède pas une quinzaine de mètres. Il ne faudrait pas nous pousser beaucoup pour que nous fassions demi-tour mais tout de même, nous n'avons pas fait tous ces kilomètres pour renoncer maintenant.

Au sommet, il fait cinq degrés, la visibilité ne s'est pas améliorée, au contraire, et à peine avons-nous pris le temps de faire deux ou trois photos que nous attaquons la descente en nous doutant que nous n'avons pas encore fait le plus dur. En effet, les mains engourdies par le froid, nous avons toutes les peines du monde à actionner les freins qui nous donnent l'impression de ne pas répondre, ce qui n'est guère rassurant, surtout avec cette visibilité très réduite.

Au Chalet Reynard, un arrêt pour prendre une boisson chaude est impératif. Jean-Claude doit même jouer les masseurs (non, pas Thaïlandais !) pour redonner un peu de vie à un de mes pieds sans connaissance. Je te dois une reconnaissance éternelle, Jean-Claude .au chaud

Nous prenons maintenant la direction de Sault par une route en piteux état qui nous secoue comme des pruniers. Je roule devant avec Jean-Claude car j'ai vraiment besoin de me réchauffer lorsque je m'aperçois qu'il n'y a plus personne derrière nous. Nous nous arrêtons et attendons de longues minutes sans voir venir personne. Il faut donc remonter voir ce qui se passe et un peu plus haut, nous croisons nos trois acolytes qui ont dû s'arrêter pour réparer une crevaison de René.

Une pause pour le repas de midi à Sault avec un menu qui n'a de "cycliste" que le nom et nous voilà repartis pour rentrer par les gorges de la Nesque. C'est de loin le moment le plus agréable de la journée : le soleil est revenu, il fait bon et le paysage est absolument splendide. Nous en profitons pour faire plusieurs arrêts dont l'un nous est imposé par une nouvelle crevaison de René. Changement de chambre à air, regonflage et psch... éclatement de la chambre et nouvelle réparation. Si ça continue, nous allons manquer de chambres à air .

P1000710Heureusement, nous en avons fini avec les crevaisons mais pas avec les intempéries puisque, une quinzaine de kilomètres avant Malaucène, nous essuyons une forte averse et c'est sous une pluis battante et trempés jusqu'aux os que nous arrivons au terme de cette journée.

Tout ça nous donne fortment envie d'y revenir dans des conditions plus favorables.

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9 mai 2010 7 09 /05 /mai /2010 17:53

Gros groupe à 7 heures ce dimanche matin. Même Jesus est avec nous aujourd'hui.
Bien sûr, au départ, il n'est question que de nos aventures de la veille et nombreux sont ceux qui ont enchaîné les deux sorties (samedi, dimanche).
Arrivés à Sallanches après quelques arrêts prostatiques, nous croisons Christian qui était à la bourre et qui a roulé comme un malade pour revenir vers nous. La montée à Cordon par la vieille route est un régal pour les yeux. La chaîne du Mont Blanc face à nous, un virage sur deux, nous éblouit et nous fait (presque) oublier la rigueur de la déclivité.
Pas de soleil ce matin, à part Simone et Lucie bien sûr.
Petite route sympa pour finir à l'aplomb du rond point embranchement vers St Gervais.
A Combloux, 3 courageux décident d'aller taquiner le col des Aravis.
Lancés dans la descente, nous manquons la petite route à droite et prenons plus bas. Montée au Bettex en deux groupes. Un par la route facile, l'autre par la route difficile. Quelle que soit la route empruntée, chaque groupe revendique la
route la plus exigeante. De toutes façons le dénivelé est le même puisque tout le monde se retrouve au Bettex.
Fraternisation avec le groupe de Cluses qui avait le même objectif ce matin.
Retour en file indienne vers Thyez.
Jesus rappelle à chacun que l'UCTM a changé depuis 1985 et qu'on est devenus fous parce qu'on roule trop vite. Il prendra néanmoins plusieurs relais.
Pour ne pas faillir à la tradition, les gros rouleurs ont emporté le groupe à plus de 40 km/h, faisant exploser notre équipée à plusieurs reprises. Cris, rappels à l'ordre, cyclos partagés entre l'envie de rouler fort et celle de rentrer ensemble. Pour certains, le dilemme est douloureux.
Petit sprint à l'entrée de Cluses pour le passage en tête au panneau "Cluses". Jo invective les grosses cuisses et invite tout le monde à déguster un verre à la taverne Rapin.
Qui boit trop de Frontignan, ne pédalera pas longtemps. N'est-ce pas Christian ?
Hop, un petit coup pour souder l'équipe et bon dimanche à tous !

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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 20:46

Seuls six valeureux membres de l'UCTM étaient au rendez-vous de sept heures. La pluie de la fin de nuit et la route mouillée n'avaient pas dissuadé ces plus courageux.

Dans le strict respect du parcours, la montée de Planpraz a réchauffé les coeurs. A Samoëns, crevaison d'Alain au pneu avant (1ère crevaison). Réparation instantanée au soleil septimontain. Mais, au moment de repartir, c'est le pneu arrière qui est crevé à son tour (2ème crevaison). La solidarité fait son oeuvre et une chambre de secours sort de la pochette de Guy. Au pied de Châtillon, nouvelle crevaison d'Alain (3ème crevaison).

C'en est trop. Re-solidarité de Jo qui propose de vendre (cher) une chambre qui, une fois montée, refusera obstinément toute ingestion d'air (on frise la correctionnelle avec cette 4ème chambre). C'est au tour de Jean-Pierre d'offrir sa chambre à air.

C'est complet ! dit-on lorsque toutes les chambres sont prises.

Avec 4 chambres à air de secours, cette matinée a des allures de sport en chambre. Alain, qui décidément ne manque pas d'air, a terminé la sortie au col de Châtillon. Complètement crevé, diront certains pour couper l'herbe sous le pied de ceux qui seraient tentés de le traiter de dégonflé.
Roger qui avait démarré le tour depuis chez lui nous rattrape alors et nous rejoint. Au col, un quidam nous "emboîte la roue". Arrivés aux Hauts Choseaux, on percute : mais c'est un nouveau membre de l'UCTM ! Il faut l'attendre. Sauf que compte tenu de son retard, Richard, retenez ce nom, se fait vraiment attendre.
Il a dû prendre tout droit vers le Châtelard et louper l'embranchement vers les Hauts Choseaux.
Comme la route s'arrête au Châtelard, il doit croire que l'UCTM est un club de cyclo cross. Nous l'attendrons en roulant (oximore de l'UCTM d'une clarté obscure Président ?).
Arrivés à Arâches, nous pensons un moment appeler le Président Christian pour lui demander l'autorisation de ne pas redescendre par Balme mais de rentrer par Châtillon. Puis, nous prenons l'initiative de le faire sans
l'appeler. Excusez notre audace Président.
C'est alors qu'apparaît Victor. Seul ! "J'ai mis une mine au groupe de 8 heures". Quel talent ce Victor !
Mais comme personne ne le suit pendant de longues minutes, c'est un champ de mines qu'il a posé.
Il reconnaît alors Richard et l'apostrophe car le groupe de 8 heures l'a attendu longtemps. Il s'est trompé de chemin le pauvre.
Nous repartons donc vers Châtillon et croisons alors le groupe de 8 heures lancé à pleine allure. Saluts du groupe de 8 heures au groupe de 7 heures et vice versa.
A la Frasse, sur le bord de la route, c'est 2 UCTM de plus (groupe de 8 heures) qui se sont arrêtés pour réparer la 5ème crevaison de la matinée, celle de Gilles. Arrêt du groupe de 7 heures. Bientôt rejoints par le groupe de 8
heures.
Rien ne sert de partir à 7 heures puisqu'on roule avec le groupe de 8 heures. Rires, rassemblement au milieu de la route (pas bien Président, j'ai les noms de ceux qui voulaient pas se ranger) et apostrophages divers de ce cher
Richard qui tentait d'expliquer à chacun où il avait perdu le groupe.
Chacun comprit enfin qu'il fallait savoir faire l'armistice avec Richard en ce 8 mai.

Bilan des sorties du matin :
Cinq chambres à air
Des UCTM perdus sur toutes les routes du parcours
Les 8 heures qui ratrappent les 7 heures
Pas de pluie
Beaucoup d'arrêts
Beaucoup d'ambiance, du rire, quelques bons mots
Une sortie mé-mo-rable !
Vivement demain !

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8 mai 2010 6 08 /05 /mai /2010 19:24

Après la pluie d'hier soir, il n'était pas évident que tous les inscrits à la rando des "Hauts de l'Albanais" soient présents ce matin à Marignier pour le départ en voitures vers Rumilly. Pourtant, une seule défection est enregistrée et nous voilà donc sept à prendre la route.

PICT0012Arrivés au stade de rugby de Rumilly, l'accord se fait rapidement sur le parcours le plus long, celui annoncé pour 56 km.

Il aurait été dommage de manquer ça car le parcours mitonné par les vététistes du cyclo club rumillien était magnifique avec des enchaînements de sentiers monotraces, de larges chemins d'exploitation agricole et de "chemins blancs" avec quelques passages obligés sur la route, mais si peu ! Le secteur de la Chambotte notamment restera un grand souvenir avec les quelques aperçus du lac du Bourget visibles entre les arbres qui bordent le chemin.

De plus, contrairement à nos craintes, le parcours avait très bien supporté les pluies de la semaine écoulée et s'est avéré beaucoup moins gras que nous n'aurions pu le supposer.

PICT0015La journée aura aussi été marquée par trois crevaisons qui nous ont quelque peu retardés et, comme nous avons aussi pris un peu notre temps en route, lorsque nous sommes arrivés au dernier ravitaillement, tout avait déjà été démonté et emporté. Il nous a donc fallu poursuivre jusqu'à l'arrivée sans avoir pu reconstituer des forces un peu entamées par la longueur du parcours et son profil accidenté. Les dernières côtes sont un peu indigestes pour Sandrine et Cédric qui reprend le VTT après deux semaines d'interruption dues à sa chute du côté de l'Epargny. Tout ça ne nous empêche pas de parvenir tous ensemble à bon port après un trajet de 60 km supérieur à la distance annoncée. Comme dit Jean, ils avaient dû oublier de compter la TVA !

De retour à Rumilly, une autre surprise nous attend : notre arrivée tardive nous prive de repas chaud. Heureusement, les bénévoles du club encore présents ont tôt fait de nous sortir de derrière les fagots du pain, du saucisson, de la tomme et du gruyère sur lesquels nous nous jetons avec avidité.

Sandrine, Patrick et Cédric ont dignement fêté leur premier "Plus de 60 km" et leur premier "Plus de 1500 m de dénivelé" !

Dorénavant, le 8 mai ne sera plus pour eux l'anniversaire de la victoire des alliés sur l'Allemagne nazie mais celui de leur propre victoire sur eux-mêmes !

PICT0038

 

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1 mai 2010 6 01 /05 /mai /2010 16:22

Depuis le début du mois : 1894 km et 27 395 m de dénivelé.

Depuis le début de l'année : 3463 km et 44 590 m de dénivelé.

Encore un peu de retard sur 2009 : 3852 km à la même date.

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30 avril 2010 5 30 /04 /avril /2010 09:50

PICT0007Programme de la journée : Saint-Jean de Sixt, col de la Croix-Fry, Les Clefs, Col du Marais, Faverges, Talloires, col de Bluffy, Nâves par la voie romaine, Aviernoz, Thorens, col des Fleuries par La Luaz, Saint-Sixt, Saint-Laurent

Participants : Christian L, Jean, Jo, Yves, René, Michel, William, Maurice, Christian M

Encore une magnifique journée presque estivale, surtout l'après-midi .

Dommage que, partis à neuf, nous ne soyons rentrés qu'à sept + deux par suite d'une incompréhension sur l'itinéraire à suivre .

Bilan de la journée : 150 km et 2250 m de dénivelé

PICT0014

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27 avril 2010 2 27 /04 /avril /2010 19:25

Aujourd'hui, première sortie cyclo à la journée hors calendrier du club.

Participants : Carole, Véro, Catherine, Pascale, Gérard, Charly et moi... donc un groupe à majorité féminine . Charly, Gérard et moi avons intérêt à nous tenir à carreau .

Après être montés au col d'Evires par Lavillat, nous prenons la direction d'Annecy en empruntant les petites routes du plateau des Bornes, notamment une portion de l'itinéraire de la Balade de l'Espoir de dimanche.

Arrivés à Annecy-le-Vieux, comme il est trop tôt pour casser la croûte, nous décidons de poursuivre jusqu'à Thônes. Quelqu'un propose même de finir les montées avant de manger, ce qui nous emmènerait à Saint-Jean de Sixt mais Charly s'y oppose vigoureusement et nous nous gardons bien de le contredire .

Nous atteignons Thônes vers treize heures et nous nous mettons aussitôt à la recherche d'une terrasse (ensoleillée selon le voeu de nos éléments féminins ). Le problème n'est pas aussi simple à résoudre qu'il y paraît, d'autant que, la saison n'étant pas commencée, tous les restaurants sont loin d'être ouverts . Dans notre recherche, nous finissons par perdre Charly avant de le récupérer un peu plus tard et de trouver enfin une terrasse qui fait l'affaire.

Après avoir réussi à convaincre ces dames qu'une mousse ne va pas leur couper les jambes dans la montée à Saint-Jean de Sixt et avoir dégusté une bonne salade mélangée et quelques frites, nous voilà repartis par la petite route sur la droite de la route principale en franchissant notamment trois côtes qui ne passent pas inaperçues.

Une dernière mousse à Saint-Jean de Sixt et c'est la descente à un rythme soutenu vers Saint-Pierre en Faucigny puis le retour à Marignier.

Bref, une superbe journée dans une ambiance tout à fait printanière. Je ne doute pas que cette journée réussie en appelle de nombreuses autres...

Bilan de la journée : 120 km et 1650 m de dénivelé.

Malheureusement, pas de photos : l'appareil que j'avais pourtant préparé est resté dans mon garage . Ce sera pour la prochaine fois.

profil

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 20:04

Le club est particulièrement bien représenté à cette "Balade de l'Espoir" 2010 : 30 participants, ce qui représente une très forte augmentation sur les chiffres de l'an dernier : 4 participants seulement... il faut dire que la météo en 2009 était très menaçante, ce qui avait dissuadé nombre d'inscrits de se déplacer .

036Il n'en est rien aujourd'hui puisqu'une magnifique journée s'annonce et que les quelques nuages de ce matin ne devraient pas faire craindre de précipitations avant la fin de l'après-midi. J'espère que nous serons rentrés bien avant, quoique... .

L'effectif se répartit à peu près équitablement entre le parcours de 75 km et celui de 100 km, Jean-Claude se contentant, quant à lui, du petit parcours.

Cette "Balade de l'Espoir" est, comme d'habitude, remarquablement organisée, tant du point de vue du parcours, de la signalisation, des ravitaillements que du repas à l'arrivée.

Bref, une excellente journée... Nous aurions pu être de retour en début d'après-midi si nous n'étions pas une dizaine à nous être attardés assez longuement en terrasse devant quelques mousses ... mais il fallait bien profiter de cette superbe après-midi de printemps.

 

100 0585

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25 avril 2010 7 25 /04 /avril /2010 19:52

avec le sourirCe matin, 14 au départ, malgré la participation de l’UCTM au brevet d’Annecy.

Fait notable : la gente féminine est particulièrement bien représentée avec 4 membres.

Les amusements commencent avec St Laurent/St Sixt puis le col des Fleuries.

Peu après Thorens-Glières, vers 9h20, l’UCTM (brevet d’Annecy) croise l’UCTM sortie officielle, sous des encouragements mutuels.

Aviernoz puis la sympathique route des Ollières sont vite négociés.

les patronnesS’en suit un petit bout de nationale, moins agréable.

Remontée par Groisy, après quelques palabres, il est décidé de repasser par le col d’Evires et le col des Fleuries.

Avant d’atteindre celui-ci, une bifurcation un peu rapide à gauche nous fait perdre Claude et « Pokemon » (unanimement déclaré vainqueur du prix de la combativité, tout le temps 200 mètres devant).

Heureusement le téléphone portable est là, et après quelques minutes d’attente, le groupe est reformé à nouveau.

A nouveau St Laurent/St Sixt, et retour sur Marignier.

Pendant 95 km, un groupe particulièrement agréable, la forte présence féminine n’y étant certainement pas pour rien.

st laurent

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